Lanta Fa Rung Beach Resort

J’ai réservé un séjour de 6 jours dans ce ressort en mars 2024 via ***********. A la suite de modification des dates de mes vacances, j’ai appelé l’établissement pour retarder mon arrivé d’un jour. Le matin de mon arrivé, j’ai de nouveau appelé l’établissement afin de confirmer l’heure exacte de mon arrivé. Une fois sur place, j’ai été informée qu’à cause de mon retard ma réservation a été annulée, mais que ma chambre avec ventilateur était toujours disponible pour un prix moindre : 1000 Bath au lieu de 1190 Bath. On m’a demandé de payer en cash (l’établissement n’accepte pas de carte de crédit !) avant de visiter mon bungalow n°2. Or, j’ai constaté que mon bungalow est situé très loin de la plage et plutôt vers la route principale. En effet, tous les bungalows sont entassés sur une route intérieure qui mène vers la route principale. Dans la chambre, petite et sans aucun charme, il n’y avait aucun petit frigo, malgré la chaleur extérieur, mais un placard qui sentait mauvais. Les conditions proposées ne correspondaient à aucun critère d’un ressort. C’était le pire bungalow que j’ai eu pendant tout mon séjour en Thaïlande pour le même prix. De plus, pendant la nuit je n’arrivais pas à dormir vu la nuisance des animaux domestiques (coqs, poules, chats, chiens..). On dirait qu’il y avait une ferme d’animaux à côté… Pire encore. Le matin après mon petit déjeuner je suis allée à la plage devant l’établissement en laissant le bungalow ouvert aux femmes de ménages. En rentrant vers 14h30, ma petite bouteille de rhume laissée dans la chambre avait disparue. J’ai demandé aux femmes de ménages d’explications. Elles m’ont redirigée vers la réception. La femme à la réception, au lieu de traiter ma réclamation a commencé à me dire que ce matin je sentais alcool (parfaitement faux), que les femmes de ménages étant musulmanes ne buvaient pas et que c’était moi-même qui avait bu la bouteille. Face à cette très mauvaise foi, j’ai demandé à me montrer où était la bouteille vide. Et là, la femme de réception a fait une crise d’hystérie en me traitant de femme vieillissante, d’ivrogne, de menteuse en me demandant de quitter l’établissement (chose que j’ai immédiatement accepté). Mais quand j’ai demandé d’être remboursée pour les 4 nuits non utilisées, elle m’avait expliquée que c’était presque 15h et que je devais payer la chambre pour la nuit qui venait. J’ai refusé vu que c’était moi la victime d’un vol. Un homme se présentant du Gérant est arrivé (style gros Hispanophone, boucle d’oreilles, cheveux longs en queue…) et d’une vulgarité et d’une violence inouïe m’avait menacée d’appeler la Police pour me mettre dehors et de gâcher mes vacances. J’ai accepté cette proposition de faire appel à la police. Or, immédiatement la femme hystérique (qui continuait à me menacer que c’était mon dernier séjour en Thailande !!!) a répondu que si la police arrivait je ne serais remboursée de rien. J’ai demandé quand même d’appeler la Police. Elle a dit de le faire, mais j’avais de

Gartenanlage wird täglich gepflegt, Essensangebot reichhaltig und lecker. Sehr hilfsbereites Personal. Die Managerin kann alle Fragen zuverlässig beantworten. Ausflüge und Weiterreise z.B. Flughafentransport kann im Resort gebucht werden. Bungalows, direkt in Strandnähe, sind minimal aber zweckmässig eingerichtet. Ich habe gut geschlafen.

Die Bungalows waren mehr als klein und sehr spartanisch eingerichtet. Ein hartes Bett, ein Schrank der kurz vor dem auseinanderfallen war, ein Nachttisch und ein Plastikbeistellschränkchen. Kein Stuhl, kein Tisch, keine Ablagemöglichkeit, kein Kühlschrank, der Safe war auch nicht mehr da und vom "Badezimmer" rede ich erst gar nicht. Nicht mal ne Flasche Wasser war zur Begrüßung da. Der Ventilator glich einem Flugzeugprobeller, schlafen war da nicht möglich. Gebucht hatten wir 7 Übernachtungen, wir sind nach der ersten Nacht wieder gegangen und haben ein anderes Resort gebucht. Von Hotel kann keine Rede sein, Bruchbude trifft's eher. Sehr bemerkenswert ist auch die Reaktion des Besitzers auf eine schlechte Bewertung (siehe ***********) Beleidigungen sind da die Regel, unterste Schublade.